Pub Nike

Nike vient de lancer sa campagne d’affichage pour la FFF. En mettant en avant Éric Cantona, Oxmo Puccino ou encore Marianne, la marque à la virgule essaye tente de redorer l’image des Bleus. Étrangement, les slogans paraissent bien prétentieux. Surtout après le fiasco français lors de la Coupe du Monde 2010…
Après 39 ans de bons et loyaux services, Adidas s’est fait éclipser au profit de Nike pour les équipements de l’équipe de France de football. Les nouveaux maillots sont d’ailleurs prévus pour le17 janvier. voir “Blogopub”

Après ça, c’est un joli travail de typo, simple et impactant. Agence : Leg

avec un peu de retard

Un site ou plutôt un blog dont l’idée, assez sympathique, est de présenter une esperluette par jour de l’année (ampersands en anglais) au total, donc, 365 esperluettes. Malheureusement l’année est écoulée et l’auteur est passé à autre chose. Bonne année! : http://ampersandampersand.tumblr.com/

Je vous rapelle la définition de Wikipédia : L’esperluette, ou « ”et” commercial », également appelée « perluette », aussi orthographiée « esperluète » et « perluète », également appelée par anglicisme « ampersand ». Elle correspond à la ligature de la conjonction et. Elle a le même sens que celle-ci. L’esperluette résulte de la ligature du e et du t. À l’origine, cette graphie ligaturée était plus ou moins systématiquement utilisée par les copistes médiévaux, qui utilisaient de nombreuses autres abréviations.

Et je ne resiste pas à vous en livrer aussi l’origine : Il semble que l’esperluette ait été considérée comme la 27e lettre de l’alphabet jusqu’au XIXe siècle. Selon le Trésor de la langue française, le &, dernière lettre de l’alphabet, était appelé ète, et les enfants apprenaient à l’école élémentaire à réciter l’alphabet en ajoutant après, les mots latins « et, per se, et » (« et, en soi, ‘et’ ») prononcés « ète-per se-ète » , comme moyen mnémotechnique.

Objet du quotidien/18

un petit rayon de soleil dans un velouté de gris et de bleus

Une page de pub!

Allez, on rigole un peu…Le quotidien d’information Suisse Sonntags Zeitung est à l’initiative de cette campagne de publicité. Le journal propose un aperçu de l’histoire en détournant le concept de poupées russes et en utilisant l’image des grandes personnalités politiques du monde entier. sur Publiz.net

Séville/

Quelques images de Séville

Séville/3

Ouf, ça y est, j’ai trié et “édité” mes photos sur Séville. Bon, pas de photos sublimes… L’andalousie. Ce mélange de l’Espagne et de l’influence arabe. 5 jours à se balader dans les ruelles sans jamais arriver vraiment à se retrouver, le plan à la main. Une ville pleines de fenêtres ouvertes sur d’autres mondes plus intérieurs, semi-ouverts, des patios, des cours, des puits de lumière. Une ville où l’on cherche toujours à regarder derrière les volets, les grilles, les portes (magnifiques). Des églises souvent fermées, mais une ville ouverte, chaleureuse, pleine de petits bars sympas. Tout ça me donne envie de me balader et de voir les autres villes d’Andalousie. Une impression d’être chez soi et dépaysée.

Romka Magazine

Un jolie initiative qui consiste à collecter des photos personnelles et essentielles de photographes professionnels ou amateurs à travers le monde pour les éditer dans un format 14×21. Jolie présentation et une idée simple et touchante : un selection de photos avec comme seul critère le fait qu’elles représentent dans leur expression photographique quelque chose qui vous touche personnellement. romkamagazine.com

Musique à l’Abbaye

L’affichette A3, suite du mailing.

Séville/2

Séville/1

Séville

Quelques jours en Andalousie, à Séville, flaneries dans les rues tortueuses aux mille pavés… Je vous en dirais plus quand j’aurais “développer” mes photos.

Alexe Poukine

Une photographe dont les photos me semblent être un écho des miennes. Un extrait de son site : http://www.alexepoukine.com

“Au cours de cette dernière décennie, je me suis appliquée   à mettre mon monde en boîte. Je le retiens, je le détiens, j’essaie d’empêcher ce foutu présent de me glisser entre les doigts. Comme j’écris mon journal, j’appuie sur le déclencheur.  Pour me  souvenir de ce que j’ai vécu. Pour  me le réapproprier aussi. Au fil des années, photographier est devenu une façon d’exprimer, non plus ce que je vois, mais ce que je vis.” Axelle Poukine

à suivre